04
Mar
2014

Food Art : Des sculptures en cire d’abeille

 

Aganetha Dyck réalise des sculptures avec l’aide des abeilles en les laissant déposer leur cire sur des objets et des figurines endommagés. La rédaction de meltyFood vous décrypte ces œuvres de food-art.

miel

Le food-art nous réserve toujours d’originales surprises ! Alors que certains remplacent des blessures faciales par des bonbons, d’autres font appel à l’aide des abeilles pour laisser libre cours à leur créativité. C’est le cas de l’artiste canadienne Aganetha Dyck, disposant des objets dans les ruches “pour que les abeilles se les approprient”. En bref, les abeilles apportent leur contribution à l’oeuvre d’art en déposant leur cire sur les figurines endommagées. Le résultat ? Des sculptures époustouflantes habitées par la cire d’abeille.“Je choisis des objets endommagés, car les abeilles sont des êtres méticuleux, elles réparent en permanence tout autour d’elles et font attention aux détails”confie Aganetha Dyck. La rédaction de meltyFood est épatée par le potentiel de ces insectes à miel !

Aganetha Dyck
Aganetha Dyck

Food Art : Aganetha Dyck

Aganetha Dyck

Aganetha Dyck

 

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20
Fév
2014

A La Rochelle, on peut devenir le parrain des abeilles

Article Sud Ouest du mercredi 19/02/2014

La PME rochelaise compte 998 ruches dans son parc, que financent 300 entreprises et 4 000 particuliers. Un espoir pour un secteur apicole fragilisé.

 

A La Rochelle, on peut devenir le parrain des abeillesLes ruches sont implantées à La Rochelle, Charron et partout où il y a de la demande, mais toujours en France.© PHOTO 

 

PHOTO XAVIER LÉOTY

La production de miel a chuté de 40 000 tonnes à moins de 10 000 en l’espace de quinze ans, en France, sous l’effet des pesticides et de la concurrence des miels à bas coût venus de l’étranger. Et le printemps très pluvieux de l’an dernier a douché les derniers espoirs de voir la production nationale se redresser au bénéfice d’un regain d’intérêt pour le « made in France ». De quoi filer le bourdon à plus d’un apiculteur… Mais dans ce contexte morose, Un Toit pour les abeilles fait clairement figure de petit rayon de soleil.

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Une croissance soutenue

Le potentiel de jepartage.fr
Régis Lippinois n’en est pas à sa première aventure d’entreprise. En 1999, il crée une association pour organiser et développer le covoiturage sur Internet qui aboutit, en 2006, à la création de l’entreprise Ecolutis rachetée, l’an dernier, par la SNCF. Le partage, c’est son credo et son fonds de commerce. Le Rochelais a ainsi acquis les droits de jepartage.com, un concept qu’il décline déjà sur Internet sous différentes formes, comme autant de galops d’essai. jepartagemonjardin.fr met ainsi en relation ceux qui ont un terrain qu’ils n’exploitent pas et ceux qui cherchent une parcelle pour faire un potager. Jepartagemonbureau.fr vise à rapprocher les entreprises qui souhaitent louer les mètres carrés dont elles n’ont pas l’usage et des entrepreneurs en quête de place. Le site jepartagemongarage.com peut permettre, par exemple, à quelqu’un qui vient travailler à La Rochelle tous les jours, à 8 heures, de se garer dans le garage de quelqu’un dont le garage se vide à la même heure et reste inoccupé jusqu’au soir… Des concepts innovants qui peuvent donner lieu à des créations d’entreprises, peut-être, un jour. C’est en tout cas comme ça qu’a démarré Écolutis avant de prendre un essor national…

La start-up rochelaise de l’écologie, créée en 2010 par Régis Lippinois et Olivier Demaegdt, a réalisé un chiffre d’affaires de 570 000 euros l’an dernier, en hausse de 20 % (+40 % si on intègre toutes les ventes). Après des années 2012 à +52 % et 2011 à +47 %, « on reste sur une forte croissance », assure Régis Lippinois.

Le concept est, il est vrai, particulièrement innovant. La petite entreprise, qui emploie quatre salariés aux Minimes, propose aux entreprises comme aux particuliers de participer à la sauvegarde des abeilles – les apiculteurs et… le monde : ne dit-on pas que sans les abeilles, l’humanité n’aurait plus que quatre ans à vivre faute de pollinisation des cultures – en parrainant des ruches ! Comment ça marche ? Une ruche compte environ 40 000 abeilles. La SARL propose aux particuliers d’en parrainer tout ou partie, à partir de 96 euros par an. En échange, ils reçoivent une certaine quantité de pots de miel à leur nom, à chaque récolte.

Même chose pour les entreprises, qui payent entre 800 euros pour une ruche classique et 3 000 euros pour un essaim posé sur leur toit. La concession Porsche d’Aytré, par exemple, a choisi cette dernière formule. Localement, la SARL Un Toit pour les abeilles compte aussi parmi ses clients l’éco-concession Toyota.

Des enseignes nationales ou internationales telles qu’Arkopharma, un laboratoire spécialisé dans les médicaments naturels, ou bien comme le groupe Auchan ont également souscrit. Faut-il y voir un alibi écologique ou la marque d’un vrai militantisme en faveur de la biodiversité et du développement durable ? Régis Lippinois dit veiller au grain, pour qu’un pollueur notoire ne s’achète pas une image à bon compte, sans être trop exigeant. « Nous sommes aussi une entreprise. » À ce jour, Un Toit pour les abeilles compte tout de même 300 entreprises parmi ses clients, ainsi que 4 000 particuliers, pour un total de 998 ruches parrainées et localisées à La Rochelle, à Charron, dans le Marais poitevin et un peu partout dans l’Hexagone mais rien qu’en France. « Il y a un vrai savoir-faire dans notre pays qu’il faut défendre. » Les apiculteurs concernés sont sous contrat. Et la PME les aide financièrement à produire.

Vers des cosmétiques

Alors, c’est sans doute peu de chose au final au regard des importations en provenance d’Asie qui déferlent, chaque année sur le marché français. Mais d’autres entreprises et associations ont vu le jour, depuis 2010 et la création d’Un Toit pour les abeilles, sur le même principe. Le gérant de la SARL en a compté 40. Ce qui constitue un atout pour l’apiculture française. Mais crée également les conditions d’une concurrence potentiellement redoutable. Les associations ont en effet la possibilité de proposer une déduction fiscale de 70 % aux « parrains », pas les entreprises. La start-up rochelaise sait pouvoir profiter, quelque temps encore, du fait d’avoir été pionnière. Mais, jamais à court d’idées (lire ci-contre), son patron la prépare déjà à élargir sa gamme. Un Toit pour les abeilles devrait ainsi lancer sa marque de cosmétiques à base de miel en fin d’année.

Source :

www.sudouest.fr/un-toit-pour-les-abeilles-fait-son-miel-du-parrainage

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20
Fév
2014

Apiculture – Une filière en péril

En 2013, la production française de miel a atteint son niveau historique le plus bas. Une fois de plus, les apiculteurs pointent du doigt la toxicité des insecticides néonicotinoïdes.

 Apiculture en péril
 Le constat est sans équivoque : depuis 1995, la production de miel en France n’a cessé de décliner pour atteindre 15 000 tonnes l’an dernier. « C’est la récolte la plus faible jamais connue »,constatait Henri Clément, porte-parole de l’Union nationale de l’apiculture française (Unaf) au cours d’une conférence de presse à Paris le 11 février 2014. Pour expliquer ce triste record, la profession met en avant la conjonction de conditions météorologiques particulièrement défavorables en 2013 avec les effets récurrents des insecticides dans les zones de grandes cultures de colza et de tournesol. Comme dans d’autres pays d’Europe ou aux États-Unis, l’apiculture française est confrontée à une augmentation record de la surmortalité des abeilles qui avoisine aujourd’hui 30 % en moyenne par an (au lieu de 5 % en temps « normal »). Autrement dit, une ruche sur trois disparaît chaque année. Ce  phénomène, connu sous le nom de « syndrome d’effondrement des colonies » ou CCD (Colony Collapse Disorder), coïncide avec l’apparition en France des insecticides nicotinoïdes au milieu des années 90. Très largement utilisés dans l’agriculture, ces produits neurotoxiques enrobent la semence et libèrent leurs principes actifs dans la sève, y compris des fleurs dans lesquelles les abeilles vont puiser le nectar et le pollen.

Les apiculteurs constatent alors des troubles de comportements dans leurs colonies d’abeilles. Parce que ces produits perturbent leur système nerveux, les butineuses ne retrouvent plus le chemin de la ruche. Leur système immunitaire étant affaibli, elles peuvent aussi développer des maladies neuro-végétatives qui entraînent la mort à plus ou moins long terme.

Bien que les fabricants aient nié dès le départ les effets délétères de ces nouveaux insecticides, de plus en plus d’études scientifiques sont venues confirmer les observations des apiculteurs. C’est ainsi qu’en 2003 et en 2004, un Comité scientifique et technique composé d’experts créé par les pouvoirs publics français concluait que l’imidaclopride (présent dans le Gaucho) ou le fipronil (utilisé dans le Régent) posaient des « risques préoccupants pour les abeilles ». Il faudra pourtant attendre le 1er décembre 2013 avant que l’Union européenne retire partiellement du marché les produits (Gaucho, Cruiser, Poncho, Régent, etc.) dérivés de quatre molécules reconnues dangereuses pour les abeilles.

« Cette décision est un premier pas important mais il n’est malheureusement pas suffisant » selon l’Unaf qui demande l’extension de l’interdiction sur toutes les cultures, notamment les céréales à paille semées en hiver, les betteraves et les traitements en forêt. Au nom du principe de précaution, le syndicat des apiculteurs demande également le retrait du marché d’autres produits (Sonido, Protéus, Suprême, etc.) dont les molécules actives font partie de la famille des néonicotinoïdes et sont tout aussi nocives pour les abeilles. Jacques Freney, un apiculteur de la région Rhône-Alpes, était venu apporter son témoignage. Constatant le dépérissement de ses colonies qui butinent au printemps sur les arbres fruitiers, il a fait analyser des échantillons de pollens prélevés à l’entrée des ruches et constaté qu’ils contenaient de l’acétamipride, un insecticide néonicotinoïde qui a obtenu une dérogation à l’interdiction de traitement en période de floraison.

« La France, qui a joué un rôle important dans la décision de Bruxelles, doit retirer du marché cette famille d’insecticides et renforcer les conditions d’épandage », estime Olivier Belval, le président de l’Unaf. Et de souligner l’incohérence du plan abeilles mis en place il y a un an par le gouvernement qui prévoit d’augmenter de 50 % le nombre d’apiculteurs professionnels, sans garantir au préalable un environnement favorable à un développement pérenne des ruchers. « Le premier objectif, c’est de sauver la production », souligne Olivier Belval. Conséquence de la pénurie de produits français, plus des deux tiers du miel consommés dans l’hexagone vient d’Argentine, d’Europe de l’Est et du Sud-Est asiatique, dont les prix de revient sont bien inférieurs. Une situation qui menace directement la viabilité économique de la filière. Mais il y a encore plus grave. Au-delà de la production de miel, le rôle premier de l’abeille réside dans la pollinisation des plantes à fleurs. Un service essentiel dont dépendent 35 % des ressources alimentaires de la planète et 60 % de la diversité de l’alimentation. Malheureusement, lorsque les dégâts seront devenus irréversibles, il sera bien trop tard pour réagir !

www.quechoisir.org/apiculture-une-filiere-en-peril

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19
Fév
2014

En France, la production de miel est en chute libre

Presque pas d’acacia, de thym ni de romarin, à peine un peu de colza, de sapin, de châtaignier : la récolte de miel est en chute libre en France. Elle n’atteint même pas 15 000 tonnes pour 2013, moins qu’en 2012 (16 000 t) et loin derrière les 33 000 t par an que l’apiculture enregistrait jusqu’en 1995. Compte tenu de l’engouement actuel pour cette activité professionnelle ou amateur, le nombre de ruches est resté stable, aux alentours de 1,3 million. Mais la mortalité des colonies ne cesse de grimper : de 15 % à 30 % en moyenne selon les régions, voire 100% par endroit. Et la situation se dégrade pareillement dans de nombreux pays.

Le constat ne constitue pas seulement une mauvaise nouvelle pour les gourmands, c’est aussi un mauvais signe pour la santé des abeilles, pour l’environnement en général et singulièrement pour l’agriculture, dont des pans entiers dépendent des insectes butineurs. « 35 % des ressources alimentaires dans le monde dépendent de la pollinisation, à 80 % des abeilles », a rappelé Henri Clément, porte-parole de l’Union nationale de l’apiculture française (Unaf) à l’occasion du bilan annuel de cette organisation syndicale.

ABRICOTS, TOMATES, FIGUES, CORNICHONS

Pourtant, au-delà des périls nombreux et variés, qui menacent les abeilles − conditions climatiques défavorables, varroa et nosema (un acarien et un champignon qui les parasitent), frelon asiatique entre autres −, les membres de l’Unaf ont une fois encore dénoncé leurs principaux ennemis : les pesticides et plus précisément les néonicotinoïdes.

Pour ceux qui élèvent les abeilles, il y a un avant et un après 1994, date d’arrivée sur le marché de cette famille d’insecticides organochlorés neurotoxiques. Après des années d’effort, leur cri d’alerte a fini par être entendu. Un moratoire interdisant l’usage de trois néonicotinoïdes pendant deux ans sur certaines cultures vient d’être adopté dans l’Union européenne, mais il donne lieu à des recours juridiques de la part de plusieurs firmes agrochimiques.

Pendant ce temps-là, d’autres produits utilisant ce type de molécules conquièrent les campagnes à leur tour. Les apiculteurs mettent en cause le thiaclopride et l’acétamipride que l’on retrouve notamment dans différentes préparations sous les noms de Proteus et Biscaya du groupe Bayer pour le premier ; Suprême, Horeme, Bambi, Cazogaze, Equinoxe et Insyst de la marque Certis Europe BV (groupe Nisso Chemical Europe GMBH), pour le second.

Des abricots aux tomates, en passant par les cornichons, les figues, les framboises et les melons, de nombreuses cultures sont traitées de façon préventive avec ces pesticides systémiques, c’est-à-dire présents dans toutes les parties de la plante. Pire, ces substances sont utilisées en toute confiance puisque qu’elles portent toutes deux la mention « abeille » : leur pulvérisation est donc autorisée y compris en période de floraison.

40 ANS D’OBSERVATIONS APICOLES

Jacques Freney, par exemple, produit du miel depuis 1963 dans les monts du Lyonnais (Rhône), une zone d’arbres fruitiers. Voilà donc quarante ans qu’il note avec rigueur tous les faits et gestes de ses colonies d’abeilles, poids du nectar rapporté et taux de mortalité. Celui-ci était de 6 % en hiver jusqu’en 2000, avant depasser à 11 % en 2006. Il s’élève désormais à 29 %  de perte toute l’année. « L’an dernier, sur un site, il m’est resté 22 ruches productives sur 122, témoigne-t-il.Elles ne sont pas pleines d’abeilles moribondes, elles sont vides : cela signifie qu’elles n’ont pas été en état de rejoindre la colonie

Ses observations lui ont permis de relativiser l’impact des parasites sur ses abeilles, mais sutout de mesurer celui des néonicotinoïdes. L’apiculteur a prélevé du nectar auprès de ses butineuses pendant la période de floraison des pêchers alentour et l’a confié à Jean-Marc Bonmatin, chargé de recherche au CNRS (Centre de biophysique moléculaire, Orléans, Loiret).

« L’acétamipride agit sur le système nerveux central comme un psychotrope,expose ce spécialiste. Ce composé crée une hyperexcitation qui entraîne la mort de l’insecte. » Or le chercheur est formel : l’envoi de M.Freynet en contenait 2,3 nanogrammes par gramme de pollen. Déceler la présence de substance à cette échelle relève « du défi scientifique », reconnaît Jean-Marc Bonmatin, mais conduit forcément à la question de l’exposition répétée à de faibles doses qui n’est pas prise en compte dans le processus d’autorisation de mise sur le marché.

L’Unaf s’apprête à rejoindre le label européen Bee Friendly (ami des abeilles) qui distingue les pratiques agricoles respectueuses des insectes pollinisateurs. L’organisation en appelle par ailleurs au ministre de l’agriculture. Dans une lettre ouverte en date du 10 février, elle demande à Stéphane Le Foll « d’interdire totalement l’usage de tous les néonicotinoïdes, y compris l’acétamipride et le thiaclopride ». Et de réviser sérieusement le processus d’attribution de la mention « abeille »… en premier lieu pour les « produits reconnus comme dangereux pour les abeilles ».

Source :

www.lemonde.fr/production-de-miel-est-en-chute-libre

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18
Fév
2014

MIEL : LE MEILLEUR AMI DE L’ORGANISME

Miel

On parle souvent des bienfaits du miel sans préciser pour autant la nécessité de l’avoir quotidiennement à la maison. Tonifiant, relaxant, cicatrisant, adoucissant et surtout nourrissant, le miel est un des meilleurs amis de l’organisme.

Ce produit de la ruche est riche en nutriments d’où le bénéfice de sa consommation régulière. Il a une action préventive très connue en période hivernale. En effet, il est le bouclier parfait contre les maux de la saison froide.

On dit toujours qu’il faut consommer le miel le matin, c’est vrai ! Ce produit tonifie le corps en le nourrissant avec de l’énergie qui est indispensable le matin. Mais ce dernier peut être également consommé le soir cependant son rôle n’est pas le même. En fin de journée, il favorise plutôt le sommeil d’où son caractère relaxant.

Plusieurs personnes utilisent le miel pour sucrer leur tisane, café, c’est une bonne chose car contrairement au sucre blanc qui a perdu une partie de ses nutriments en raison de son raffinement, le miel conserve tout son bienfait nutritif.

Il faut noter que pour avoir tous ses bienfaits, le miel doit être de bonne qualité, optez pour des miels artisanaux ou issus de l’agriculture biologique. Sachez aussi qu’il y a différents types de miel : miel de montagne, miel de tilleul…donc son bienfait dépend en quelque sorte des ceux de la plante associée.

Le miel a beaucoup de vertusLe miel a beaucoup de vertus

Source :

www.tixup.com/miel-le-meilleur-ami-de-lorganisme

 

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17
Fév
2014

Le miel français a du plomb dans l’aile

 

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Les mauvaises conditions météorologiques n’expliquent pas seulement la faible activité dans les ruches en 2013. Selon les apiculteurs, les traitements chimiques cassent les ailes de leurs protégées.

 Et si le pot de miel disparaissait des tables de nos petits-déjeuners ? La production française a encore baissé l’année dernière pour atteindre un record historiquement bas, autour de 15 000 tonnes, selon l’Union nationale des apiculteurs français (Unaf). Avec un nombre de ruches presqu’égal (de 1,25 à 1,3 million), la dernière récolte a été deux fois moins importante qu’en 1995. Mais que se passe-t-il dans les ruches pour expliquer cette baisse de régime des « infatigables travailleuses » ?

Pour l’Unaf, les pesticides sont les principaux responsables de la situation.

Le syndicat d’apiculteurs professionnels, qui bataille depuis des années contre l’utilisation de pesticides sur les cultures pollinisées par les abeilles, sonne à nouveau la charge contre plusieurs produits dont ceux contenant les molécules de thiaclopride (Protéus, Sonido) et d’acétamipride (Suprême).

Il réclame leur interdiction par la France et demande à l’Europe de revoir l’évaluation de leur toxicité.

Allant dans ce sens, Bruxelles a interdit au printemps dernier, pour deux ans et sur certaines cultures, trois substances actives (clothianidine, imidaclopride et thiaméthoxame) appartenant à la famille des néonicotinoïdes en raison de leur rôle dans la mortalité accrue des abeilles (environ 30 % du cheptel par an). Pas suffisant pour certains. Pour Jean-Marc Bonmantin, chercheur au CNRS à Orléans, spécialiste des produits neurotoxiques, il n’y a pas de doute. Ses travaux montrent bien que « la toxicité chronique de l’acétamipride et du thiaclopride est similaire aux néonicotinoïdes bannis » par Bruxelles. Pour lui, « les différentes molécules de la famille des néonicotinoïdes sont très proches et il n’est pas très judicieux d’en avoir interdit seulement trois ».

Les molécules provisoirement interdites par Bruxelles sont présentes dans des pesticides (Gaucho, Cruiser, Poncho, etc.) fabriqués par Bayer ou Syngenta, qui ont contesté en justice l’interdiction.

Parasites et frelons asiatiques

Si la responsabilité de certains pesticides dans la surmortalité des abeilles est aujourd’hui scientifiquement confirmée, il y a d’autres facteurs qui y contribuent : des parasites comme le Varoa, le frelon asiatique ou la perte de diversité des cultures.

Un aspect multifactoriel que ne contestent pas les apiculteurs.

L’Unaf a d’ailleurs déploré que le frelon asiatique ait été classé nuisible en catégorie 2, ce qui n’implique pas une lutte obligatoire coordonnée par l’administration.

Henri Clément, porte-parole de l’Union nationale des apiculteurs français, s’élève aussi contre la volonté du ministère de l’Agriculture d’assouplir les dérogations à l’interdiction de traiter les cultures en période de floraison : « Nous attendons avec impatience l’avis de l’Anses (agence sanitaire) à ce sujet ». Les abeilles aussi.

DANS L’EST : les récoltes de miel d’acacia et de châtaignier ont été correctes, celles du miel toutes fleurs et de sapin plutôt faibles. La miellée de tilleul, en raison des conditions climatiques, elle, a été inexistante.

DANS LE SUD-EST : les récoltes ont été quasi inexistantes pour le romarin, la bruyère blanche et le thym. La récolte a été à peine moyenne pour la lavande et faible pour les toutes fleurs en

montagne.

POUR LE CENTRE (région Auvergne) : les récoltes de miel de printemps ont été inexistantes, hormis l’acacia dans certains secteurs. Seules les récoltes de miel de sapin, sur certains terroirs, ont permis aux apiculteurs de sauver une partie de leur production.

EN RHÔNE-ALPES: après des récoltes de printemps quasi-nulles, les récoltes de miel d’été ont été faibles à moyennes, avec des disparités selon les zones de production. Les miellées de lavande ont été en dessous de la moyenne. La récolte de châtaignier correcte selon les secteurs. En montagne, après un bon début de miellée, une partie du miel a été consommée par les abeilles. Les miellées d’automne ont été décevantes.

DANS LE SUD-OUEST , les récoltes d’acacia et de colza ont été très faibles et souvent inexistantes. Celle de châtaignier a été faible à correcte, la bourdaine moyenne et la bruyère erica nulle. Quelques orages survenus en cours d’été ont permis une petite récolte de callune.

Source :

www.ledauphine.com/economie-et-finance/le-miel-francais-a-du-plomb-dans-l-aile

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16
Fév
2014

Les poules, une arme efficace pour lutter contre le frelon asiatique

Les poules gobent les frelons asiatiques tout en restant à distance des abeilles

Un apiculteur landais a eu l’idée d’utiliser des poulets pour lutter contre le frelon asiatique. Une technique d’une redoutable efficacité bénéfique aux abeilles, aux poules comme à l’apiculteur.  Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur FacebookPartager sur Twitter Facebook Twitter Le frelon asiatique est aujourd’hui parfaitement implanté en Europe. Il occupe 60 départements français et se retrouve en Belgique, en Espagne et au Portugal tout en continuant à se propager. Cet insecte attaque les abeilles et les tue pour s’en nourrir. L’espèce invasive est ainsi capable de décimer des ruches entières. Il faut dire que les ouvrières constituent pour lui une source abondante de protéines. Malheureusement, ce prédateur est difficile à combattre. En septembre dernier, un arrêté est paru afin de fournir une nouvelle arme aux apiculteurs aux prises avec le frelon asiatique : le dioxyde de soufre. Un gaz jugé particulièrement efficace pour lutter contre les frelons, selon l’Agence nationale de sécurité sanitaire. Injecté dans le nid, le dioxyde de soufre tue les insectes en les asphyxiant. Mais un apiculteur landais semble lui avoir déniché une toute autre méthode pour protéger ses abeilles de l’espèce invasive. Une méthode aussi naturelle qu’efficace : les poules.  Des patrouilleurs pour les abeilles En effet, Francis Ithurburu, un jeune retraité passionné d’apiculture, a étudié de près l’insecte notamment grâce à des vidéos, et s’est souvenu qu’autrefois les poules côtoyaient les ruches. Il a ainsi eu l’idée de tenter l’expérience en mettant des poules à côté de ses ruches et en observant leur comportement tandis qu’elles se promenaient là (vidéo ci-dessus). Il a alors constaté que les volailles étaient une arme tout à efficace. Cité par Sud Ouest, il raconte : « introduit dans le rucher, le jeune poulet vadrouille entre les ruches tout en se méfiant des attaques des abeilles gardiennes dont il se tient à distance mesurée ». Or, si la volaille mange « quelques abeilles tombées à terre, malades ou en fin de vie », elle se nourrit surtout de « tous les frelons qui se présentent devant les ruches » et dont le vol bruyant est peu discret. Les gobant dans son bec, la poule ne fait qu’une bouchée des prédateurs. Les mois suivant l’expérience, Francis Ithurburu a constaté qu’aux abords du rucher, le nombre de nids avortés de frelons était bien supérieur à la moyenne, allant jusqu’à l’absence de colonies proches. En poursuivant son expérience pendant trois ans, l’apiculteur s’est aperçu que le frelon asiatique ne représentait plus de véritable danger pour son rucher. Un mets de choix pour les volailles « L’intérêt est qu’au printemps, les poulets attrapent les premières fondatrices qui sont en train de construire leur premier nid. On a donc déjà des nids avortés en plus grand nombre autour d’un rucher », explique Francis Ithurburu à France 3 TV. Si les poules attrapent si facilement le frelon asiatique, c’est que contrairement au frelon commun, il est capable de rester en vol stationnaire. Tout en se méfiant de la ruche, les poules peuvent donc d’un coup de bec, capter l’insecte. Et les avantages de cette méthode ne concernent pas que les abeilles et l’apiculteur car les poules aussi y trouvent leur compte. En effet, les frelons dont l’abdomen est plein de protéines constituent un « complément alimentaire particulièrement intéressant » pour les poulets, souligne le Landais. Avec une telle efficacité, cette solution naturelle et écologique pourrait bien faire des émules chez les apiculteurs, parmi lesquels certains ont abandonné leur élevage face à l’invasion du frelon. Ils pourraient alors également adopter des patrouilleurs à plumes pour protéger leurs butineuses.

En savoir plus et voir la vidéo :

http://www.les-poules-une-arme-efficace-pour-lutter-contre-le-frelon-asiatique.fr

 

 

Copyright © Gentside Découverte

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15
Fév
2014

La production de miel atteint son plus bas niveau historique

En 2 ans, la production de miel a reculé de 25%, à 15.000 tonnes. Les apiculteurs s’alarment d’un diagnostic toujours plus inquiétant.

C’est un fléau qui ne cesse de prendre de l’ampleur. En 2013, la production française de miel est tombée à moins de 15.000 tonnes, soit 25% de moins qu’il y a deux ans seulement (20.000 tonnes en 2011), selon l’Union Nationale de l’Apiculture Française. Si la comparaison sur le court terme est frappante, elle n’est que le reflet d’une trajectoire tombante tout à fait pérenne: on est en effet bien loin des niveaux observés jusqu’en 1995, supérieurs à 33.000 tonnes par an.

Première conséquence, les importations pèsent de plus en plus lourd au fil des années. Alors que la France, alors autosuffisante en miel, en importait entre 6000 et 7000 tonnes en 1995 selon l’UNAF, les Douanes françaises indiquent que ce chiffre est passé à quasiment 29.000 tonnes en 2013! Ces importations posent le problème d’un éventuel manque à gagner pour la France (en 2013, les importations de miel auraient coûté 85 millions d’euros, toujours selon les douanes), mais surtout celui de la qualité des produits que l’on consomme.

Le miel importé, principalement de Chine, mais aussi d’Espagne et de pays d’Europe de l’est, fait certes l’objet de contrôles. Néanmoins, ceux-ci ne peuvent être systématiques. Surtout, l’UNAF s’inquiète de la présence de pollen issu d’OGM dans le miel importé: le 15 janvier 2014, les eurodéputés ont en effet refusé d’imposer aux éleveurs d’abeilles de mentionner la présence d’OGM sur les étiquettes de leurs produits. Enfin, l’évolution du nombre d’apiculteurs français illustre bien la réalité de cette activité: depuis dix ans, ils seraient 1000 de moins chaque année à exercer cette profession, toujours selon le syndicat apicole. Une proportion qui n’est pas négligeable, puisque l’UNAF recense aujourd’hui 70.000 apiculteurs dans l’Hexagone.

Si la production de miel marque autant le pas, c’est que le taux de mortalité des colonies d’abeilles ne cesse d’augmenter depuis une vingtaine d’année. L’UNAF pointe la responsabilité des pesticidesnéonicotinoïdes, dont l’avènement en 1995 coïncide avec le déclin des populations d’abeilles. Alors que les apiculteurs considèrent que le taux de pertes hivernales normal est de 10%, on évalue aujourd’hui des mortalités deux fois, et parfois même trois fois supérieures sur cette période de l’année. Plus préoccupant: des colonies entières disparaissent aussi en cours de saison.

source :

http://www.lefigaro.fr/production-de-miel-atteint-son-plus-bas-niveau-historique.php

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14
Fév
2014

Un label européen pour promouvoir les produits respectueux de l’abeille

Le nouveau label européen « Bee Friendly » a été dévoilé par l’Union national de l’apiculture française (Unaf) le 11 février à l’occasion d’une conférence de presse à Paris.

Elaboré par des experts de l’abeille, de l’agriculture biologique et de l’agroalimentaire, ce label valorise les fruits, légumes et produits laitiers respectueux de l’abeille. Sa gestion a été confiée à l’Association Bee Friendly créée en 2011 par trois organismes apicoles : l’Unaf pour la France, Unione nazionale associazioni apicoltori italiani (l’Unaapi)  pour  l’Italie, European professional beekeepers association (l’EPBA) pour l’Europe. Le cahier des charges comprend 27 critères qui seront contrôlés par un organisme de certification indépendant : encadrement de l’utilisation des pesticides, interdiction de l’utilisation des OGM, mise en place de zone de préservation de la biodiversité,…

Le label « Bee friendly » permettra aux consommateurs d’identifier les produits respectueux de l’abeille

L’objectif de cette démarche est de sensibiliser les producteurs, les transformateurs et les distributeurs de ces produits à l’enjeu majeur que représente la survie des abeilles. Les premiers produits labellisées BeeFriendly (briques de lait et beurre) sont déjà en vente en Bavière. En France, un certains nombre de produits de consommation courante pourraient bien être estampillés « Bee friendly » d’ici fin 2014.

source :

http://www.campagnesetenvironnement.fr

 

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29
Jan
2014

confitures à base de miel

Les apiculteurs  s’occupent de votre ligne dès le petit déjeuner !

Pour profiter pleinement de la confiture sans culpabiliser sur la quantité de sucre, Pascale ( voir le portrait) se propose de vous confier les secrets de sa recette de confiture à base de miel (confimiel).

Tout les samedi, elle organise des ateliers de fabrication de confimiel à la Miellerie des Fontenelles à Triaize, en Vendée. Vous  repartirez avec vos pots de confimiels (différents fruits) étiquetés à votre nom, après une dégustation de votre production.

 

Lieu (voir un plan) : Miellerie des Fontenelle , Les Fontenelles , 85580 TRIAIZE

Réservation : par téléphone en contactant Pascale au 06 83 23 23 91

Dates : .Tous les samedis matin (réservation obligatoire).

Prix : 45 €

 

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29
Jan
2014

Rencontre avec Sarah

Sarah HOLTZMANN notre apicultrice des Vosges sera au salon de l’agriculture 2014, Hall de la Région Lorraine les Mardi 25 Février et Dimanche 2 Mars.

Venez la rencontrer !

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29
Jan
2014

Stages d’apiculture pour la saison 2014

Chantal Jacquot et Yves Robert, apiculteurs en Bourgogne  vous proposent des stages d’apiculture pour la saison 2014.
L’exploitation  est orientée vers le mode de production biologique du miel en vue d’obtenir la certification.
Les ruches sont de type Warré.

Initiation à l’apiculture Bio :
« Les abeilles sont fascinantes et très attachantes »
Installer une ruche permet d’améliorer la pollinisation, de récolter du bon miel et d’agir concrètement en faveur de l’écologie.
24-25 mai 2014 week-end Initiation à l’apiculture Bio
21-22 juin 2014 week-end Initiation à l’apiculture Bio
5-6 juillet 2014 week-end Initiation à l’apiculture Bio
Thèmes abordés : connaissance de la colonie d’abeilles et de son fonctionnement, les principes de base de l’apiculture bio, caractéristiques de la ruche warré, principales interventions au rucher. Mise en pratique : découverte des abeilles, observations et ouverture d’une ruche, découverte de la flore mellifère.

Stage d’apiculture: conduite de ruches Warré (perfectionnement) :

Ce stage d’apiculture se déroule en quatre demi-journées (les samedis après-midi de 13h45 à 17h15)
1er mars 2014: Notion d’écologie et d’apiculture Bio
 5 avril 2014: Visite de printemps
19 avril 2014: Essaimage et méthode de multiplication 
26 juillet 2014: Préparation à l’hivernage

 

+ d’infos et tarifs sur leur site http://www.culturenature71.com/
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11
Déc
2013

L’apiculture, une passion

Nous avons le plaisir de partager les photos de ces ruches montées par des passionnés d’apiculture.

Elles ont été peintes par Denise. Nos félicitations pour ce beau travail !

 

 

 

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09
Oct
2013

La société OPCALIA a reçu dans ses locaux son apiculteur Alain Levionnois

Entre midi et deux, les salariés ont eu droit à un petit cours d’apiculture et à un petit pot de miel.

Un détour qui leur a permis, on l’espère ! de bien démarrer leur après-midi 🙂

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04
Oct
2013

Plus de 250 personnes ont répondu présent

C’est au tour de la région parisienne. Le rucher du Cours Doux en Seine et Marne a ouvert ses portes fin Septembre 2013. Exposition, démonstration, dégustation, … tout y était.

 

 

 

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04
Sep
2013
13
Août
2013

Les portes ouvertes se poursuivent au mois d’Août

Sarah et Gregoire ont eux aussi, joué le jeu !

Ca tombe bien ! le risque de se faire piquer à cette période de l’année est faible. Eh oui, les abeilles ont autre chose à penser pendant les jours de beau temps, elles travaillent !

Les participants à cette journée ont donc pu visiter les ruches en toute sérénité.

 

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13
Août
2013

Comment mieux connaître nos amies les abeilles ?

Evelyne et Frederic WIELEZYNSKI et Thierry Colin, apiculteurs engagés et investis ont ouvert les portes de leur ruchers au mois de Juillet.

Un toit pour les Abeilles a convié tous les parrains à cet événement mais pas seulement ! L’idée est d’accueillir gratuitement petits et grands curieux de la nature et d’aller à la découverte des abeilles. Qui sait ? cela suscitera peut-être de nouvelles vocations…

Une chose est sûre, leur enthousiasme est porteur d’un bel espoir d’avenir pour ce métier en voie de disparition.

 

 

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12
Août
2013

Prochaines journées de visites des ruches.

Que vous soyez déjà parrain ou pas encore inscrit, nous vous invitons à passer une journée avec nous, pour découvrir les abeilles et le métier d’apiculteur.

Nous vous accueillerons gratuitement, accompagné de votre famille ou de vos amis pour une journée en compagnie des abeilles.

Dates et lieux des prochaines journées :

– 08 septembre Eric vous accueille à Hauville (27)

– 21 septembre : Sébastien vous accueille à Charron (17)

– 14 septembre : Laurent et Anne-Marie vous accueille à La Chapelle Agnon (63)

– 29 Septembre Alain vous accueille àFéricy (77)

Pour vous inscrire : inscription aux rencontre avec les apiculteurs.

Pour vous inscrire : inscription aux rencontre avec les apiculteurs.

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07
Août
2013

Brother France loge des Abeilles

Cet été en région parisienne, Un toit pour les Abeilles a installé des ruches pour Brother France. Désormais, à travers les fenêtres des bureaux de l’entreprise, les salariés peuvent observer des ruches au bord de l’eau.

Cette inauguration était l’occasion pour le personnel, sensible au sujet des abeilles en voie d’extinction, d’approcher ces dernières et de partager un moment privilégié avec leur apiculteur Eric Catel.

Afin de permettre à chacun de participer activement à la sauvegarde de la biodiversité, un atelier de fabrication de bougie à la cire a été réalisé par nos soins. Nous avons clos la journée par la distribution aux participants, de sachets de graines mellifères. Eric a pris un grand plaisir à parler de son métier passionnant autour d’un bon pot de miel. À déguster sans modération.

Une opération qui a suscité une belle mobilisation pour cette journée !

 

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24
Juin
2013

Philippe ouvre ses portes

Chaque année les apiculteurs du réseau « Un Toit Pour Les Abeilles » vous accueillent pour des journées de découverte auprès des ruches. Samedi dernier, l’apiculteur Philippe a reçu un groupe dans son exploitation située dans les Alpes Maritimes au nord de Nice. Au programme, visite des ruches, initiation à l’apiculture, découverte de la vie des abeilles et bien entendu dégustation des produits de la ruche.

Ces journées sont ouvertes à tous, que vous soyez déjà parrain ou non. Pour découvrir les prochaines dates proches de votre domicile, consulter la liste des « journées découverte« .

Merci à Martine de l’hôtel Marriot Cap D’ail, pour ses photos et sa participation à cette journée.

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10
Juin
2013

Des abeilles dans un panier

Les abeilles, un peu capricieuses, n’ayant pas voulu intégrer directement la ruche, nous les avons récoltées dans un panier. Elle ont ensuite été installées dans une ruche pour le transport, puis dans un tronc d’arbre évidé sur notre rucher de Fouras. En mois d’une heure elles sont passées de leur arbre, à un panier, puis une ruche et enfin un arbre creux. C’est promis on les laisse tranquille et on ne lé déménage plus !
Cette ruche a été offerte à l’association « Un Arbe Sur Mon Chemin » qui a pour vocation de planter des arbres fruitiers sur des terrains disponibles.

 

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09
Juin
2013

Des abeilles aux écrevisses

Trop de pluie ce samedi pour emmener les enfants voir les abeilles…

Pour occuper tout ce petit monde, nous avons proposé une pêche à l’écrevisse. Les enfants ont pêché 340 écrevisses (si si on les a compté) dans l’après-midi. Nous nous sommes empressés de les préparer le soir même pour les déguster lors d’un repas collectif.

 

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Ecrit par Régis dans : Autres initiatives | Tags : Commenter cet article
08
Juin
2013

Les petites vendeuses de fleurs

Ce samedi vente de fleurs sur le marché de Fouras.

Le matin ramassage des fleurs et confection des bouquets. Dès 11h, les enfant étaient sur le marché pour vendre les bouquets et gagner 16 € au total !

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07
Juin
2013

Un essaim pour Laurent

Laurent, l’instituteur des enfants de Fouras, souhaite se mettre à l’apiculture et nous a contacté pour récolter son premier essaim qui lui permettra de démarrer son rucher. Voilà qui est chose faite.

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07
Juin
2013

Le même et on recommence

Une semaine après avoir récolté un essaim dans un platane sur la commune de Fouras (17), nous avons été appelés pour un autre essaim exactement au même endroit. Ne disposant pas, cette fois de la grande échelle des services techniques, nous avons été aidés par le conducteur d’une pelle mécanique qui nous a permis d’atteindre l’essaim.

Merci à l’entreprise ALLEZ

 

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07
Juin
2013

Un essaim encadré par les forces de l’ordre

Cette semaine la police municipale de Fouras nous a contacté pour un essaim qui s’était installé en haut d’un platane. La hauteur  inhabituelle a compliqué la récolte de l’essaim et il a fallu emprunter une échelle aux services techniques de la ville  pour se rapprocher de la colonie. Les abeilles ont délicatement été récupérées avec une pelle, car même avec l’échelle il n’était pas possible d’accéder directement à l’essaim.

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06
Juin
2013

Préparation d’une ruche tronc en acacia

Nous avons récupéré les tronçons, fendus en deux, d’un tronc d’acacia creux. L’intérieur de l’arbre est « nettoyé » au ciseau à bois de façon à pouvoir y introduire des abeilles. Le soir même nu essaim naturel a été récolté et mis en place. Les abeilles ont tout de suite accepté leur nouvelle habitation.

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06
Juin
2013

Camille visite les ruches troncs

Quelques photos de Camille devant des ruches tronc et ruches en bois tressés. A la sortie de l’hiver, l’une des colonies été morte et de nouvelles abeilles sont venues s’installer spontanément.

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27
Mai
2013

Lucile et les abeilles

Ce lundi Lucile a repéré un essaim dans le jardin de ses voisins. A la recherche d’un nouveau toit, les abeilles ont accepté la ruche en quelques minutes.

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